Performance

Trajal Harrell, Dancer of the year

vendredi 22 oct. 2021 de 17h15 à 18h, de 19h à 19h45

samedi 23 oct. 2021 de 17h15 à 18h, de 19h à 19h45

8 - 12 €

Lafayette Anticipations
Trajal Harrell, "Dancer of the Year" © Marc Domage

En 2018, la revue Tanz Magazine nomme Trajal Harrell "Dancer of the Year" (danseur de l'année). Cette distinction et les réflexions sur l'estime (de soi) qu'elle suscite sont le point de départ de ce solo.

Trajal Harrell se frotte au périlleux exercice de l'(auto)-représentation. Il met en regard sa singularité, son esthétique et ce titre honorifique qui déclenche en lui un double questionnement : que signifie une telle désignation pour la danse ? Que signifie la danse pour lui ? 
 
Chorégraphie, danse, son et costumes : Trajal Harrell
Dramaturgie : Sara Jansen
Producteur : Cause Célèbre zvw
Coproduction : Kunstenfestivaldesarts, Impulstanz Festival, Schauspielhaus Bochum, Bergen BIT, Festival d'Automne à Paris, Lafayette Anticipations
Pièce créée au Kunstenfestivaldesarts en mai 2019.
 
A l'occasion de l'ouverture de l'exposition de Martin Margiela : offre spéciale pour la représentation de 21h !
Réservez pour le spectacle et profitez d'une visite privée exclusive de l'exposition à 20h15, en compagnie d'un.e médiateur.trice.
Le chorégraphe et danseur nord-américain Trajal Harrell a fait ses études à la Trisha Brown School, au Centre National de la Danse (Yvonne Rainer), au City College de San Francisco et à la Martha Graham School of Contemporary Dance.
Ses spectacles ont été joués à New York et ailleurs aux États-Unis, dans des théâtres comme The Kitchen et dans des festivals internationaux tels que le Festival d'Automne à Paris, Holland Festival à Amsterdam et Impulstanz à Vienne. Ses performances ont par ailleurs été présentées dans des lieux dédiés aux arts visuels, dont le Museum of Modern Art de New York. Avec une approche très imaginative de l’histoire, il réinterprète nos passés ou plutôt l'histoire de la danse. Sa recherche est fondée sur le dialogue entre la danse post-moderne et la scène new-yorkaise du voguing. Ainsi son imaginaire nargue les distances chronologiques, géographiques et culturelles.