Café-Restaurant pluto
Entouré d'oeuvres d'artistes, le café-restaurant pluto est un lieu d'expérimentation culinaire accordé aux saisons, du déjeuner au dîner !
Né à l'initiative de trois amis d'enfance
Niché dans l'architecture unique imaginé par Rem Koolhaas à Lafayette Anticipations, au coeur du marais, pluto est ainsi le nouveau repère gastronomique de la scène culturelle parisienne et internationale. Dans cet écrin exceptionnel, au soeil dans la cour cachée de la Fondation, ou sur sa terrasse de la calme et discrète rue du Plâtre, on y croise les artistes de passage à Paris, les musisicien·nes en aftershow, les galeristes du quartier, les amoureux·ses de la mode...
À midi, la carte est décontractée et réconfortante, l'après-midi, on peut y flâner, y faire ses rendez-vous et y déguster cafés et pâtisseries, à prolonger par une visite d'exposition ou par la lecture d'un magazine proposé à la Librairie de la Fondation, à quelques mètres, et enfin le soir y diner en mode bar et bistrot iconoclaste.
Dans un esprit zen, ce café-restaurant est designé par le studio Hugo Haas, avec un mobilier sur mesure en bois et les chaises élégantes de la marque danoise Frama.
Pluto se métamorphose également pour accompagner les concerts, soirées, dîners d'artistes et nombreux événements de Lafayette Anticipations.
Services
Déjeuner : 12h30 - 15h
Café / boissons : 15h - 18h
Apéritif : 18h - 19h
Dîner : 19h30 - 1h (dernière commande nourriture à 23h30)
Horaires
Lundi Fermé
Mardi Fermé
Mercredi 11h - 00h
Jeudi 11h - 00h
Vendredi 11h - 00h
Samedi 11h - 00h
Dimanche 11h - 19h
À découvrir en ce moment
Composée d’un ensemble de treize tirages photographiques, la série Le temps scellé présente un paysage déserté. L’absence humaine suggère un endroit sinistré, voire post-apocalyptique. Dove Allouche s’est rendu à Tallinn en Estonie sur les lieux de tournage de Stalker d’Andreï Tarkovski (1979) pour photographier la mystérieuse « zone » qui intrigue les protagonistes du film. Près de trente ans plus tard, l’artiste a capturé cet endroit en utilisant les plans et la lumière prisés par Tarkovski. Cette dualité met en exergue la permanence de la mémoire d’un lieu où le temps semble figé, ou « scellé » selon l’intitulé de l’œuvre. En enregistrant mimétiquement la topographie du film Stalker, Dove Allouche explore ses thèmes de prédilection que sont le temps et l’invisible tout en restituant l’atmosphère d’un lieu qui évoque à la fois l’histoire soviétique et la genèse d’une fiction cinématographique majeure.